Tikal est l’un des plus grands sites archéologiques et centres urbains de la civilisation maya. Les ruines se trouvent dans les forêts tropicales du nord du Guatemala. Les principaux monuments sont regroupés sur les zones de terrain les plus élevées, reliées par des chaussées surélevées franchissant des marais. Bien que l’architecture monumentale du site remonte au IVe siècle av. J.-C., Tikal n’atteignit son apogée qu’au cours de la période classique, entre 200 et 900 de notre ère. Tikal n’avait pas d’autre ressource en eau que les réserves qui provenaient de la pluie recueillie et stockée dans dix réservoirs.
L’ancienne ville est construite à partir de pierres calcaires et comprend les vestiges de temples qui surplombent de 70 mètres de grands palais royaux, en plus d’un certain nombre de petites pyramides, palais, résidences, bâtiments administratifs, plates-formes et monuments de pierre portant des inscriptions gravées.
À la période classique tardive, le réseau de sacbéob (chaussées) reliant les différentes parties de la ville s’étendait sur plusieurs kilomètres à travers le noyau urbain. Ces chaussées reliaient la grande place au temple 4 (situé à environ 750 mètres à l’ouest) et au temple des Inscriptions (à environ un kilomètre au sud-est).
Il existe beaucoup d’autres groupes architecturaux. Parmi eux :
Le logo est le glyphe emblème de la cité maya de Tikal.